Et si mes problèmes venaient de mon enfance ?

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Et si mes problèmes venaient de mon enfance ?

Date de publication : 27/11/2022

Les traumatismes de l'enfance ou traumatismes infantiles nous suivent jusqu'à l'âge adulte. Ils peuvent être plus ou moins intenses et de différents types.

Il n'y a PAS de COUPABLE à trouver dans cet article.
L'idée est de comprendre quelle est la RESPONSABILITE des personnes ayant eu le rôle de nos parents. Et CECI afin de POUVOIR soi-même AVANCER quel que soit notre passé.

Le changement et la liberté ne sont possibles que si on prend alors nous-mêmes nos responsabilités dans notre vie actuelle, sans enlever la responsabilité des adultes de notre passé.

Certains ont des difficultés à voir que leurs relations avec leurs parents ont eu un impact majeur sur leur vie et surtout dans leurs difficultés.
Pour reprendre sa vie en main, il est important de se questionner pour comprendre.
Cette tâche est difficile car l’équilibre mis en place dans la famille est tellement connu et tellement consolidé par des mécanismes de défense qu'il est quelque fois difficile de prendre conscience des choses sans aide d'un thérapeute.

Les évènements traumatiques les plus graves peuvent entraîner des cas de trouble de stress post-traumatique (ESPT) chez les enfants et les adultes.
Même en cas d'évènements difficiles plus « classiques » les blessures émotionnelles provoquées dans le cercle familial peuvent engendrer des traumatismes, des carences profondes et des vides que nous ne parvenons pas toujours à réparer.
L’impact d’un père absent, d’une mère toxique, un environnement familial chaotique, les paroles agressives, les cris ou le manque de sécurité et d’affection dans l’enfance apparaissent souvent comme causes de certains troubles. Et dans tous les cas causes de nos schémas.

La résilience est possible à tout moment.

C'est pourquoi nous devons comprendre et apprendre à nous détacher du passé.
Cet article est loin d’être exhaustif. Ils donnent néanmoins quelques éléments fréquemment rencontrés.

Qu'est-ce qu'un traumatisme psychologique ?

Un évènement traumatique est défini comme un événement qui cause la fragilité, l'impuissance et la douleur, et qui modifie la vie psychique d'un individu.
Potentiellement tout type d'évènement peut avoir des conséquences traumatiques.


Cela dépend des capacités psychiques de celui ou de celle qui vit l'évènement. Il est difficile de dire ce qui constitue un évènement éprouvant, car un même évènement peut être plus traumatisant pour certaines personnes que pour d’autres.
Quand l'évènement éprouvant engendre un traumatisme, l’empreinte psychique que l’évènement laisse est le trauma.
Le terme de « traumatisme » désigne les conséquences émotionnelles pénibles que peut entraîner le fait de vivre un évènement éprouvant.
Lorsque le souvenir d’un évènement traumatisant et les pensées qui l’accompagnent persistent ou se font plus envahissants, ils peuvent mener à un trouble de stress post-traumatique , qui compromet gravement la capacité de la personne à réguler ses émotions et à maintenir des relations harmonieuses avec les autres.

Les traumatismes peuvent être générés à la fois dans l'enfance et à l'âge adulte.

Quel évènement peut être traumatique ?

Voyons quelques-uns d'entre eux :

  • L'événement traumatisant qui compromet sa propre sécurité ou met sa survie en danger. Ce type d'événement est lié aux événements dans lesquels la personne se trouve dans un moment qui a mis sa vie en danger (accidents graves, violence, catastrophes naturelles, guerres, pertes soudaines et inattendues …).
    Les abus physiques, sexuels et psychologiques qui, même s'ils ne se sont pas transformés en véritables menaces pour sa survie, peuvent nuire gravement à l'estime de soi et à la confiance envers le monde extérieur.
    Il existe 2 types de trauma :
    - type 1
    l'évènement traumatique est unique et inattendu posant une menace vitale aigüe ponctuelle. Exemples : un accident de circulation, une agression sexuelle, un évènement violent ...
    - type 2
    l'évènement traumatique est prolongé ou répété et l'on ne peut pas prédire son évolution. Exemples : maltraitance d'enfant, harcèlement, violence verbale, culpabilisation ...

    Bien évidemment, suivant le type de trauma et si l'enfant est un victime directe ou
    indirecte (proche d’une victime directe mais qui n’a pas vécu l’évènement lui-même), les conséquences et donc les traitements possibles seront différents.

  • Le micro-traumatisme : il n'y a pas seulement de grands événements qui peuvent causer un traumatisme, mais aussi une série de petits traumatismes ou d'événements stressants et angoissants qui se succèdent, peuvent provoquer les mêmes symptômes qu'un événement catastrophique.

  • Les scènes ou expériences marquantes émotionnellement : au cours de notre vie, nous sommes tous soumis à des expériences inconfortables ou désagréables émotionnellement, qui dans de nombreux cas se résolvent d'eux-mêmes, tandis que dans d'autres, laissent des blessures profondes (trauma émotionnels).
    Ces expériences nous causent une douleur profonde, de la colère, de la peur ou toute autre émotion. Dans tous les cas, cependant, il est essentiel de traiter et de surmonter l'émotion difficile et non de la réprimer. Nous ne savons pas par contre toujours comment les gérer.
    Nous avons tous des blessures émotionnelles du passé ou nous pouvons en avoir à un moment de notre vie. Certaines d’entre elles se ferment sans problème, d’autres nous pensons les avoir fermées mais elles se rouvrent plus tard, au moment le plus inattendu.
    Il peut être alors très difficile pour nous de traverser certaines situations.

Une fois que nous avons vécu ces expériences, nous pouvons nous en souvenir constamment, pendant des années. Il est donc vital de trouver un moyen de "digérer" ces évènements. Il est souvent nécessaire de consulter un thérapeute (Prendre RDV).

Les conséquences des traumatismes infantiles

Le traumatisme pourra s'exprimer par un trouble de stress post-traumatique (ESPT) mais également par des troubles de l'humeur, des troubles de la personnalité, des troubles de l'alimentation, des troubles anxieux généralisés, des symptômes dissociatifs, des troubles psychotiques aigus, ...
Et même si on ne le caractérisera pas par des troubles, certains schémas de comportement influenceront l'enfant devenu adulte. Vous pouvez les identifier soit à partir de problèmes émotionnels, soit à partir de comportements répétitifs.

Les enfants exposés à des évènements traumatiques subissent donc des conséquences au niveau émotionnel et comportemental, mais aussi au niveau développemental et bien sûr psychologique.

Nous avons vu précédemment l'exemple des blessures émotionnelles du passé.
Autre exemple, les enfants qui ont été soumis à des événements négatifs menant à la privation, tels que l'abandon ou le manque de soins, révèlent un signe de retard de développement pubertaire par rapport aux enfants de leur âge.

Les traumatismes de l'enfance ont donc un impact très fort dans ce qu'est la construction de notre identité, ou dans la construction de notre estime de soi, de nos comportements et de notre personnalité, ainsi que dans notre capacité à vivre d'une manière saine et à intégrer les expériences émotionnelles.
Il est évident que si ces processus de construction sont affectés, de manière plus ou moins grave, des conséquences importantes pourront être créées sur différents aspects de nous-mêmes.

Donc quoi qu'il arrive, chaque événement traumatique devra être détaillé pour comprendre comment il a affecté l'enfant devenu adulte.
Il est possible de le faire qu'avec un psychologue, un psychopraticien ou un psychothérapeute.

Comportements révélateurs de traumatismes infantiles

Nous avons vu dans le paragraphe précédent que des traumatismes différents entraînent des conséquences différentes. Il n'est donc pas facile de les prévoir ou de les identifier.
Nous pouvons en revanche essayer de détecter certains signes révélateurs (comportements et phrases) qui peuvent nous faire comprendre que la personne a des traumatismes passés à surmonter.

Enfance désorganisée

Ce sont des personnes qui n'ont pas beaucoup de souvenirs du passé ou seulement une mémoire flash, et qui manquent donc d'une narration cohérente de leur passé et de la conscience de soi, c'est-à-dire qu'elles n'ont pas de sens autobiographique et ont l'impression que leur enfance leur a été volé. Ces personnes ont subi des traumatismes et des blessures qu'elles ont essayé de supprimer, en oubliant tout.

Perdre une partie de soi

"J'ai l'impression d'avoir perdu une partie de moi, mais je ne sais pas quoi". Les personnes qui ressentent cela sont des personnes qui ont probablement essayé d'isoler la partie d'elles-mêmes liée au traumatisme afin d'essayer de se préserver. Cependant, ce comportement peut conduire à une forme dissociative. L'introspection devient un acte douloureux à accomplir et la personne préfère s'échapper. Cela conduit à une fracture de son identité qui peut conduire à des comportements autodestructeurs ou toxiques.

Se retrouver toujours dans des relations toxiques ou destructrices

Il arrive très souvent que ceux qui ont vécu un traumatisme répètent des schémas de souffrance. Ils finissent par chercher chez les autres toujours la même chose néfaste pour eux, aboutissant ainsi à des relations toxiques et dépendantes.

Évitez les liens

Éviter les liens ou rester isolé signifie ne pas s'impliquer et ne pas faire face à la peur que quelque chose puisse mal tourner. Les relations (de toute nature : amour, amitié, famille, etc.) sont pourtant essentielles pour le développement personnel et la croissance.

Déconnexion émotionnelle et incapacité à vivre une expérience émotionnelle

Ces personnes ont généralement vécu des traumatismes dans leur famille d'origine, peut-être parce qu'elles étaient toxiques ou dysfonctionnelles, ou parce qu'elles vivaient dans un environnement où les émotions étaient réprimées. Ces personnes grandiront avec l'idée que les émotions ne doivent pas être vécues et donc les réprimer, les faisant exploser de manière impulsive ou négative ou dans une sorte d'anesthésie émotionnelle.

Comment peut-on provoquer un traumatisme infantile sans s'en rendre compte ?

Les parents jouent évidemment un rôle fondamental dans la croissance et la stabilité émotionnelle des enfants.

Les parents doivent être conscients de cette réalité pour surveiller et revoir en permanence leurs actions envers les enfants et la vie de famille, et se rappeler que les enfants apprennent plus en nous regardant faire et en adaptant leurs propres comportements et interprétations (pour le meilleur comme pour le pire), qu'en écoutant ce qui pourrait être dit.
Il est quand même parfois difficile de mesurer l'impact de nos actions. Mais plus nous en avons conscience, plus nous pouvons être vigilants.

En plus, les enfants peuvent souffrir de blessures émotionnelles lorsqu'ils ne se sentent pas compris ou sont incapables de comprendre ce qui se passe, ce qui pourrait affecter leur estime de soi et leur confiance en eux.

De toute évidence, les enfants ne viennent pas avec le mode d'emploi et les parents ne sont pas parfaits. Il est courant (et inévitable) pour eux de faire des erreurs.
L'important est que les parents apprennent à observer l'enfant, en essayant de comprendre ses besoins et en essayant d'éviter les attitudes qui peuvent nuire à la vie émotionnelle des enfants. Il est essentiel de porter une attention particulière aux signes visibles (comportements ou manifestations des enfants), de comprendre s'il y a quelque chose qui ne va pas et de trouver le meilleur moyen de communiquer avec leurs enfants afin de leur donner une base sûre, de leur offrir une enfance pleine de bien-être, de confiance et d'amour.

Exemples de traumatismes infantiles

Nous essaierons d’envisager ici certains traumatismes infantiles, qui n'ont pas forcément de très graves conséquences, mais qui laissent une marque négative et influent beaucoup de comportements.
Nous allons envisager par exemple les blessures émotionnelles ou les peurs fréquemment rencontrées , ainsi que certains "accès" de violence. Dans l’article suivant "Comment "se protéger" de ses parents ?", nous évoquerons également d’autres traumatismes plus graves.

Blessure ou peur de l'abandon

Ce type de traumatisme infantile survient lorsque la mère, ou la personne qui a le rôle de mère, est incapable ou refuse de répondre en tant que figure protectrice aux peurs ressenties par l'enfant ou quitte souvent l'enfant. Il s'agit souvent d'enfants :
- laissés seuls pendant de longues périodes ou élevés par d'autres,
- avec des parents qui, pour des raisons personnelles, ne veulent pas satisfaire adéquatement les demandes de compagnie et d'attention requises par les enfants
- avec des parents très malades et donc absents au sens propre et/ou figuré.

Les personnes qui ont vécu l'abandon dans leur enfance ont tendance à ne pas être en sécurité et à développer une dépendance émotionnelle basée sur la peur d'être à nouveau abandonnées.

Violence domestique

Bien évidemment nous n’envisageons ici que des degrés modérés de violence.
ATTN la violence physique et verbale entraine quasiment toujours des marques traumatiques.
La violence apprend aux enfants à résoudre leurs conflits par la violence, à ne pas faire face de manière adéquate à leurs accès de colère et à résoudre leurs conflits familiaux selon la loi du plus fort.
Ces conséquences et les blessures émotionnelles de l'enfance sont portées à l'âge adulte et affectent la personne et son environnement, générant des hommes et des femmes auteurs de violences ou alors tétanisées par le moindre conflit.

Blessure ou peur du rejet

Certains parents rejettent leurs enfants pour diverses raisons : ils sont nés au mauvais moment, ils sont le produit de la négligence, ils sont exactement comme l'un des parents, etc.
Le rejet constant d'un enfant créera en lui un processus de rejet de soi. Cette douleur émotionnelle passée se répandra jusqu'à l'âge adulte, déclenchant en lui un sentiment d'insuffisance et d'incapacité à faire face à la vie, au travail, à l'école ou aux relations amoureuses. Ces personnes préféreront rester seules et isolées.

Blessure ou peur de l'injustice

Dès leur plus jeune âge, les enfants ont la capacité d'évaluer si une situation dans laquelle ils sont impliqués est juste ou injuste ou s'ils reçoivent un traitement inégal.
Et pour ceux qui ont plusieurs enfants, c'est une question de la plus haute importance. Vivant dans un environnement qui a été très injuste, leur Moi se détériore progressivement, donnant aux enfants l'idée qu'ils ne méritent pas l'attention des autres.
Un adulte qui a souffert de cette blessure émotionnelle peut devenir très insécurisé avec une vision pessimiste de la vie.
Ces personnes auront du mal à faire confiance aux autres et à établir des relations, et penseront inconsciemment que tout le monde les traite mal. Il est important que les parents comprennent ce qui arrive à leurs enfants et établissent une forme de communication qui permette aux enfants d'exprimer leurs doutes et leurs souffrances et de les faire se sentir aimés.

Blessure ou peur de la trahison

Parfois, les parents font de grandes promesses, qui ne sont alors pas tenues, volontairement ou non. Ne pas tenir ses promesses crée un traumatisme chez l'enfant, une blessure émotionnelle, qui lui fera croire que le monde et les gens qui l'entourent ne sont pas fiables. Il deviendra un adulte avec une personnalité incertaine, jalouse, craintive et compulsive.

Blessure ou peur de l'humiliation

Ce type de traumatisme est un type de traumatisme plus actuel que jamais, qui peut survenir à la fois entre les murs de la maison mais aussi à l'extérieur. L'humiliation est un traumatisme infantile qui concerne les enfants qui sont constamment soumis à des situations humiliantes, moqueuses et disqualifiées, à l'école comme à la maison. Les futurs adultes qui subissent ces humiliations grandiront avec une forte tendance à la dépression et une faible estime de soi.
Nous nous souvenons certainement tous de situations humiliantes de l'enfance, et il suffit de s'en souvenir pour comprendre à quel point ce traumatisme émotionnel de l'enfance peut être grave et comment il peut nous accompagner dans la vie d'adulte.

Peur de l'inconnu

De nombreux parents encouragent leurs enfants à perdre leur peur de l'obscurité, de l'eau ou des endroits inconnus, ou sous-estiment leurs craintes en leur disant de ne pas avoir peur. Les enfants ont besoin de patience et une immersion violente dans des environnements inconnus ne génère que des individus qui ne sont pas en sécurité, qui ont peur du changement et qui résistent à la différence.

Comment surmonter les traumatismes du passé ?

Comme dans tous les événements de notre vie, pour surmonter les traumatismes du passé, la première étape est de reconnaître que nous avons un problème et d'accepter ce que nous ressentons. De cette façon, nous pouvons commencer à traiter ce qui nous est arrivé pour essayer de surmonter les traumatismes du passé.


Chaque traumatisme nécessite un processus et un traitement particuliers qui passent par différentes phases, dont certaines sont très douloureuses.
Il y a des traumatismes que, très souvent avec le passage de l'âge, nous sommes capables de traiter et de surmonter seuls. Mais un grand nombre de traumatismes a besoin d'être accompagné et traité grâce à un thérapeute.

En cas de traumatismes ayant engendré des blessures émotionnelles, il y a beaucoup de thérapies complémentaires qui peuvent être utilisées : la thérapie de la cohérence ou reprogrammation de la mémoire, art-thérapie, hypnose, thérapie des schémas, thérapie psycho-émotionnelle, etc.

En cas de traumatismes avec des flash-backs importants, les thérapies précédentes sont utiles et peuvent être précédées ou complétées par de l’EMDR ou de l’hypnose.

Il est toujours conseillé en cas de mal-être, ou si nous sommes victimes d'attitudes toxiques (les nôtres ou celle des autres), de commencer une thérapie qui peut aider à surmonter les traumatismes et à reprendre des comportements plus sains qui vous aident à vous sentir bien.

La résilience est possible à tout moment.
"L’IMPORTANT N’EST PAS CE QU’ON A FAIT DE MOI. MAIS CE QUE JE FAIS MOI-MÊME DE CE QU’ON A FAIT DE MOI." JP-Sartre

Les explications ne seront pas des excuses.
Donc il est important quelle que soit notre situation de faire des liens avec notre histoire. Cette histoire ne nous "décharge pas" car tout personne peut prendre la responsabilité d’en faire pour elle-même quelque chose de positif.
C'est ceci qui pourra vous permettre un jour de pardonner. Le pardon n'est pas oublier, n'est pas cautionner, n'est pas se réconcilier, C'est un acte personnel pour se libérer soi-même.

Choisir d’être fort, heureux, libre et mature émotionnellement est quelque chose d’essentiel, d’où le besoin de surmonter et de guérir notre passé.

Auteur : Karine BIAVA (2022)
Psychothérapie et Art-thérapie à Peymeinade 06 530


Si vous sentez que vous avez besoin d’aide car vous sentez que votre enfance a eu des conséquences difficiles pour vous et que vous ne trouvez pas de solutions face à vos difficultés, vous pouvez entreprendre des séances de thérapie pour solutionner durablement votre mal-être.
N'hésitez pas à prendre rendez-vous (hypnose, PNL, IMO, EMDR - DMS, art-thérapie, thérapies émotionnelles, thérapie des schémas, thérapie de reprogrammation de la mémoire ou thérapie de la cohérence).
La théorie est une chose, en profiter vraiment en est une autre.

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