ADDICTIONS, DÉPENDANCE affective, ... les RÉPONSES au VIDE !

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ADDICTIONS, DÉPENDANCE affective, ... les RÉPONSES au VIDE !

Date de publication : 01/05/2023

Face au sentiment d'être seul, certaines rencontres ou certaines activités vous sont indispensables ? Des substances enivrantes ou des occupations "compulsionnelles" anesthésient votre douleur ? Votre rapport à la solitude est difficile et vous tentez de résoudre cette difficulté en tombant dans des stratégies addictives ? Que faire quand le remède est devenu "poison" ? Comment tombez-vous dans des relations d'amour toxique ?
Et pourquoi avez-vous déjà fait plusieurs "sevrages" et êtes retombé à chaque fois ?

Nous avons déjà abordé la solitude dans cet article sur le sentiment de solitude.

Ici nous allons voir comment les addictions comportementales ou à certains produits (addictions à l'alcool, au cannabis, à la cocaïne, à la cigarette, aux médicaments, au jeu, à l'argent, au sexe, aux réseaux sociaux, dépendance affective, boulimie, hyperphagie ...) fonctionnent face aux éprouvés de solitude.
Et nous aborderons aussi pourquoi réinstaurer les conditions d'une "bonne" solitude pourrait vous "sauver" ?

Les personnes ont tendance à chercher des distractions pour éviter d'être seuls.
Oui, elles peuvent aider les gens à se sentir moins anxieux, mais elles peuvent également devenir une forme d'évitement et de fuite.
Les distractions peuvent prendre de nombreuses formes, y compris les drogues, l'alcool, le sexe, les jeux vidéo, une relation amoureuse et les réseaux sociaux. Ces "occupations" peuvent offrir un soulagement temporaire, mais elles peuvent également aggraver la solitude à long terme en créant une dépendance et en empêchant les personnes de se connecter véritablement avec les autres.

Il s'agira être honnête avec soi-même quant à ses motivations pour chercher des distractions afin de pouvoir surmonter la peur de la solitude et se sentir plus à l'aise d'être seul.

Qu'est-ce que l'addiction ?

Le terme « addiction » vient du latin addictus qui se réfère à une coutume ancienne par laquelle un individu était donné en esclavage.

Étymologiquement, même si le mot « addiction » se réfère à un état d’esclavage, pour les personnes « addicts » l’objet d’addiction (tabac, alcool, drogues, nourriture, sexe, portable, jeu, réseaux sociaux, une autre personne, l’activité en général …) est investi de qualités bénéfiques, voire de l’amour : objet de plaisir à saisir à tout moment pour atténuer des états affectifs autrement vécus comme intolérables.
En tant que tel, l'objet d'addiction est perçu, du moins dans un premier temps, comme bon ; à l’extrême, comme ce qui donne sens à la vie.

L’addiction est une perte totale de liberté, c’est-à-dire une servitude physique et psychique par rapport au “produit” utilisé. Elle vient répondre à toutes vos angoisses existentielles et vous maintient dans un système de survie. L’obsession et la compulsion en sont les symptômes majeurs.

La personne souffrant d'addiction est alors l’esclave d’une seule solution pour échapper à la douleur mentale.

L’incapacité à extérioriser les conflits et les émotions, les sentiments de vide et de fragilité, l’accumulation des frustrations, poussent vers la recherche de sensations et de comportements dépendants.
Cette tension n’est pas uniquement fonction d’états affectifs pénibles ; il peut s’agir également d’états excitants ou agréables.

En fait, un "appel" psychique est transformé dans l’esprit de l’addicté comme un besoin somatique.

Soyons franc : on est tous addicts à quelque chose.


Quand des événements internes ou externes dépassent notre capacité habituelle à contenir et à élaborer les conflits, nous avons tous tendance à manger, boire, fumer, plus qu’à l’ordinaire, à prendre des médicaments, à la recherche d’un état d’oubli provisoire, ou bien à nous jeter dans des relations avec le même but.

Ainsi, ça devient un problème dans le cas où s'abandonner à notre addiction est quasiment la seule solution dont on dispose pour supporter la douleur psychique.

Vide dépressif et remplissage addictif constituent ainsi l’envers du décor dans notre société source d’insécurité identitaire massive.

Les addictions protègent d’un mal-être, voire d’angoisses terrifiantes et d’éprouvés de grande détresse liée à la solitude.

Quels sont les différents types d'addiction ?

Les addictions concernent beaucoup d'"objets addictifs".
Elles sont liées à :

  • la consommation de produits qui altèrent la conscience et le discernement : l’alcool, le tabac, les stupéfiants (cannabis, héroïne, cocaïne, produits de synthèse ...), certains médicaments psychotropes, les produits hallucinogènes, le sucre, les produits gras ...
  • aux activités : soit certaines activités tels que le sport et certains sports à risque, le sexe, le jeu (casino réel ou virtuel, paris sportifs, consoles de jeux), le shopping ou les achats compulsifs, parfois aussi le vol, ; soit n’importe quelle activité, c’est-à-dire les personnes qui ont toujours besoin d’être invités, d’inviter eux-mêmes, de sortir, de voyager, de parler, …
  • au travail : des personnes sont addicts à leur travail, qui en devient une drogue (la recrudescence de burn-out en est la conséquence)
  • à une personne : comme être addict à une relation, dépendant affectif dans l’obsession d’une personne.
  • à une idéologie : à une religion, à un mouvement politique ou sociétal, etc.
  • à la technologie : smartphones, PC, réseaux sociaux, JT, etc.

Les addictions seront encore plus fortes par synergie (si elles sont combinées entre elles). Par ex souvent, l’alcool et le tabac sont associés dans les activités sociales récréatives.

Pourquoi les addictions sont toujours en lien avec un sentiment de vide ?

Déjà observons à quoi sert l’addiction.

Les états psychiques qui conduisent à l’addiction peuvent se résumer ainsi :
1 / une tentative d’éviter les angoisses telles que trouble anxieux généralisé, phobie sociale, hypocondrie, peurs irrationnelles, attaques de panique …;
2 / une tentative de combattre des états d’angoisse sévères (parfois avec une tendance paranoïde) ou bien la dépression, qui s’accompagne souvent de sentiments de mort interne ;
3 / une tentative d’échapper aux angoisses psychotiques telles que la peur d’une fragmentation corporelle ou psychique, ou même à la terreur de se trouver devant le vide, là où le sens de l’identité subjective elle-même est ressenti comme compromis ;
4 / une tentative aussi, souvent, de réparer une image narcissique endommagée.

C’est parce qu’il y a un vide intérieur, une déconnexion avec soi-même que l’addiction vient donner l’illusion de remplir ce manque.
L’addiction vient nourrir un manque de l’ « Être », un vide intérieur pour un « faire » (faire le comportement addictif).

Quelque soit l’addiction, elle est dans beaucoup de cas une stratégie face à l’incapacité d’être seul(e).

Si vous avez du mal à comprendre pourquoi, c’est parce qu’il y a beaucoup paradoxes là-dedans.

Pourquoi les addictions sont des solutions paradoxales face à la solitude ?

Nous avons vu que à l'origine d'une addiction il y a un besoin de remplir un manque lié à un vide intérieur. C'est effectivement le fond du problème.
Mais dans le "quotidien" de l'addiction, il y a de très nombreux paradoxes (y compris sur ce point).
Ceci explique pourquoi se sortir d'une addiction est très compliqué.
Examinons les paradoxes. Vous vous y reconnaitrez peut-être.

Combler un manque ou se remplir pour faire le vide ?

Certaines personnes, au moment où elles vont vers les addictions, cherchent des stratégies NON PAS pour combler le manque d'origine (comme on pourrait le croire) mais PARADOXALEMENT elles disent chercher à se remplir (de drogues, d’alcool, de sexe d’activité, de nourriture …) POUR FAIRE le VIDE dans leur tête ou dans leur corps : face à trop d’angoisses par exemple (comme mentionné ci-dessus), ou bien face à des conflits internes, des émotions, des souvenirs, ou des éprouvés corporels difficiles.

Les personnes chercheraient à déloger un élément étranger indésirable.
Les addictions seraient des techniques (manger, boire, s’injecter un produit, jouer compulsivement) pour prendre la place de ces "corps étrangers" logés en soi.
Par exemple une personnes souffrant de boulimie peut dire « quand je mange, je ne pense plus à rien, je peux enfin fermer les yeux, je fais le vide. »

Les drogues ou autres comportements addictifs auraient ainsi le pouvoir de faire oublier, de faire le vide dans le but d’atteindre une solitude sereine. L’idée serait de « s’anesthésier ».


Et le paradoxe est que ces ressentis peuvent être éprouvés lorsque les autres se sont montrés trop présent et que le sujet recherche le rien pour vivre une solitude sereine.
Ici on est dans l’incapacité d’être seul(e), tranquille avec soi-même (que l’on soit seul ou entouré des autres). L'addiction permettrait un retour ver soi.

Vouloir un détachement grâce à une dépendance

Nous venons de le voir juste au-dessus, le repli addictif est une stratégie « inconsciente » pour survivre à un éprouvé de solitude. Les personnes doivent calmer leurs angoisses de solitude par des techniques artificielles et ont ainsi l’illusion d’un sentiment de toute-puissance.

La personne soumise à une addiction a un sentiment assez puissant de se contrôler et de contrôler le monde alors qu’en réalité, elle est sous contrôle de son addiction.

Les personnes addicts disent qu'elles n'ont pas besoin de faire appel à un autre (qui risque toujours de les décevoir selon eux).

Elles craignent cela car mieux vaut se protéger pour ne pas avoir à affronter l’éprouvé de la solitude, en risquant de perdre cet autre ou d’être rejeté par cet autre.
Mais d’un autre côté elles deviennent dépendantes aux produits, à leurs "drogues".

Redonner une « enveloppe » protectrice et combler le vide interne

Quand on ressent l'angoisse d'être vide et seul(e) sans défense (mémoire ancienne parfois d'une angoisse de nourrisson), on essaie de diminuer cette angoisse par la présence d'un "objet" (produit ou personne dont on est dépendant) et d'un comportement autocalmant (prise du produit, rapprochement avec l'autre, etc).

Grâce à l'addiction, il y a à la fois le comportement addictif (qui nous fait ressentir la continuité de notre existence grâce à une forme de répétition) et un "repli" avec l'objet addictif (près de nous il ne peut pas nous quitter, et en plus un sentiment de "consistance" et de protection s'installe).

Paradoxalement, en même temps que vous cherchez à vous "anesthésier" (vu plus haut), les objets ou produits d’addiction ont le pouvoir de vous redonner des sensations lorsque, dans l’absence, vous vous sentez privés sensoriellement et que vous vous sentez disparaître (voir le paragraphe précédent détaillant les angoisses des personnes en lutte avec les addictions).

Cette stratégie addictive permet de vous redonner une « consistance » et de transformer le vide sidérant (le vide dévastateur) en un vide reposant.

Mais encore une fois, « rentrer en soi » n’est qu’une stratégie devant la menace du chaos.

Provoquer une solitude de fait

Le côté tyrannique de l’addiction fait que le sentiment de vide intérieur vous pousse vers l’addiction qui a pour conséquence de vous exclure. Et donc vous entraine vers une exclusion et une solitude de fait (alors qu’au départ elle était « uniquement » intérieure).

Pourquoi l’addiction est une « mauvaise » solution face à la solitude ?

Les paradoxes précédemment exposés vous donnent déjà des pistes de réponse.

Lorsque les "addicts" se sentent remplis, ces personnes se vivent momentanément apaisées tout en étant seuls.
L’absence ou la présence de l’autre ne se fait alors plus aussi menaçante.

Mais le LEURRE est que le vide ne disparait pas réellement, il est juste moins angoissant.
Et surtout c’est un leurre de courte durée. C'est un cercle vicieux.

Une fois la consommation passée, il y a une forme de manque qui réenclenche la spirale du besoin et de la consommation.
Ce besoin exacerbé de consommer entraine une insécurité identitaire massive, créant un vide dépressif qui renforce le besoin de remplissage addictif.


Revenons à l'incapacité d'être seul et au cercle vicieux.
Le phénomène de manque caractérise assez naturellement toutes les addictions.
Qui dit manque, dit vide intérieur entrainant une forme de « descente » qui est souvent inconfortable, voire désagréable.
"Face à ce vide qui m’envahit, plutôt que de devenir fou, je me drogue, ainsi je reste dans une illusion de maitrise, parce que j’agis."

L’équilibre est impossible à atteindre, le vide étant à la fois redouté (du fait des sensations d’annihilation dans la détresse) et compulsivement recherché (pour atteindre la solitude sereine perdue ou jamais trouvée).
C’est un jeu subtil inconscient entre le plein et le vide qui consiste à protéger la vie psychique et une aire de solitude, tout en parant la psyché d’une enveloppe protectrice indispensable.

Les « objets » addictifs échouent nécessairement car ils sont des tentatives d’ordre somatique plutôt que psychologique pour faire face à l’absence ou à la douleur mentale.
Ils ne fournissent qu’un soulagement temporaire à la souffrance psychique.

Comme aucun élément ou objet appartenant au monde réel ne peut réparer des manques dans le monde psychique interne, le comportement addictif souffre inévitablement d’une dimension compulsive.


En résumé, c’est peine perdue.

Pourquoi est-il aussi difficile de sortir d'une addiction

"Être seul" et "être" seraient synonymes.
Le sentiment d’être n’existe que si la solitude est un élément structurant du psychisme et non désorganisant. Avoir une capacité d'être seul est fondamentale dans la vie.

Le sentiment de solitude va causer beaucoup de troubles différents s’il n’est pas apprivoisé.
Les problématiques d’addiction ne sont pas les seuls à découler d’une difficulté avec le vide. Par exemple les dépressifs sont confrontés au vide.
Je voudrais encore faire un parallèle avec les vécus dépressifs. La prise de médicaments est souvent nécessaire pour traverser la période de dépression mais un travail psychothérapeutique est nécessaire pour sortir un jour vraiment de l’épisode dépressif. Sinon, face à cette incapacité d’être seul, anesthésier ses élans de vie (c’est-à-dire retomber en dépression ou employer toute stratégie permettant de ne pas laisser la sensation du vide s’installer en soi) sera le seul moyen de continuer à vivre malgré cette angoisse d’être seul.

Donc quand l'addiction est présente chez vous, il y a de fortes probabilités que vous ayez d'autres problématiques psychologiques (émotionnelles et comportementales).
L’addiction vient en réponse au sentiment intolérable de vide existentiel ressenti. Maintenant il y a sûrement en plus chez vous d'autres problématiques.

Quand l’incapacité d’être seul apparaît alors chez certaines personnes comme étant au cœur de leur problématique addictive, la transformation de cette incapacité en « capacité d’être seul » fait que leurs addictions et leurs autres problèmes psychologiques pourront céder vraiment. Sinon les rechutes sont assurées.


Si cette capacité d’être seul n’est pas travaillé, un « sevrage » trop brutal risque de vous confronter à des angoisses liées à la solitude, sans défense aucune, en vous livrant à des sensations souvent insupportables.
C’est pourquoi lors du « sevrage », afin de ne pas se sentir dans la menace du vide il est intelligent de faire appel à des produits de substitution.

Donc comment améliorer sa capacité à apprivoiser la solitude ?

Comment « guérir » de cette angoisse de la solitude ?

Il est plus efficace de suivre une thérapie bien qu’il soit possible d’essayer quelques pistes tout(e) seul(e).

Chaque personne a besoin de posséder une aire de solitude pour son équilibre psychique. Il est important de rechercher une solitude sereine, « la solitude d’être soi », seul ou au milieu des autres et des dépendances.

Deux articles (Sentiment de solitude, Angoisse d'être seul face à soi-même et Comment dépasser la peur de la solitude affective ?) vous donnent quelques moyens de tenter de sortir de ce sentiment de solitude (sans problème addictif lourd).
Sachez néanmoins qu’il est extrêmement difficile d’en sortir sans l’aide d’un thérapeute.

En fait, aider les personnes à contacter le vide, le désir de rien, la mort est un passage obligé pour approcher et apprivoiser l’angoisse de la solitude et lui donner une forme.


La douleur de l’absence de sens, comme toute autre difficulté à faire face aux angoisses existentielles (mort, solitude, liberté, sens) réapparaît bien souvent dès le début d'une thérapie axée sur le sentiment de solitude.
Il est ainsi important, avant de traiter ces domaines d’une manière approfondie, que vous ayez retrouvé une suffisante estime de vous-même. Vous pourrez ainsi vous approcher émotionnellement, sans risque de rechute immédiate, de l’angoisse et de la dépression toujours possible lorsque vous devez faire face au principe de réalité.

Si nous restons sur le sujet spécifique de l'addiction, en plus du besoin désespéré de se débarrasser du fardeau des pressions affectives, toutes les formes que prend l’addiction ont pour but non seulement de réparer l’image endommagée de soi-même mais aussi de régler des comptes avec les figures parentales du passé. Vous comprendrez pourquoi même avec quelques conseils, il est indispensable de passer par une thérapie pour s’en sortir.

Avant de conclure, j’aimerais vous rappeler que la

dépendance

est un élément intrinsèque de la condition humaine. Nous commençons par une dépendance à la mère, et continuons à être pris en étau par une série de dépendances, même si nous n’en sommes pas toujours conscients, en ce sens que la nature humaine cherche à vivre en conformité avec les standards socioculturels dans lesquels elle baigne.
Nous sommes donc tous dépendants et soumis à une série d’idéaux collectifs qui sont à la base de tout contrat social. C'est pourquoi les addictions et les dépendances sont les remparts qui nous viennent le plus facilement à l'esprit.

En conclusion, dans la "solitude repli", aménagé par les "drogues", la personne se met illusoirement à l’abri des sentiments et du besoin de la présence de l’autre. Elle se met comme dans une carapace. On dirait alors qu’elle pourrait jouir d’une "solitude sereine". Mais c’est tout le contraire car elle devient hypers dépendante à sa drogue ou aux autres. Dès lors qu’elle a recours à la solitude, elle est plutôt utilisée par elle comme un isolement défensif, coûteux et mortifère. Elle rentre dans une dépendance aliénante. Elle vit une crainte, un étouffement, un envahissement et surtout une peur ressentie auprès des autres jusqu’à développer des phobies.

« Se construire » une aire de solitude afin de recréer une capacité d’être seul est vital. Cela s’apprend si vous n’avez pas pu le faire jusqu’à maintenant.
Si vous avez besoin d'aide il est préférable de suivre une thérapie car vous l'aurez compris, tomber dans une quelconque forme d'addiction est la solution la plus couramment trouvée mais elle est une mauvaise solution.


Auteur : Karine BIAVA (2022)
Psychothérapie et Art-thérapie à Peymeinade 06 530


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